Et t'as des habitudes, des manies ? Bonnes ou mauvaises, on veut tout savoir. Alors déballe ton sac.
Fumeur de tous c'qui ce fume - A la fâcheuse tendance de c'foutre dans la merde - Couche avec toutes celles qui sont potables - Aime le café, le whisky et le coca - Adore la bouffe mexicaine (narmol) - Apprécie la compagnie des chiens, des chats, des femmes - Supporte pas le froid, la grisaille, la pluie - Aime parfois se bouger le cul pour faire du sport - incapable de se nourrir correctement, de faire la cuisine - ménage = satan - Gros dormeur, adepte des grasses matinée - aime aussi se coucher au levé du soleil - inconditionnel des soirées - N'est pas du genre à raconter sa vie (même bourré) - Ne fait pas souvent de sourires ( ) - aime bien rester torse nu chez lui - peut admirer les courbes d'une femme pendant des heures
Un rêve ?
Devenir quelqu'un.
Une phobie ?
Devenir un vieux con moralisateur.
Hey, on est à Hollywood après tout, et puis, ça restera entre nous... C'est qui ton celebrity crush ? shiloh fernandez
iii. IRL
» Pseudo et Prénom : Hawthorn pour le pseudo & Clara pour le prénom » Age : 18 ans » Localisation : France » Comment as-tu découvert STFU ? je sais plus ! Craiglist » Taux de présence : plus ou moins tous les jours
Emploi : Arnaqueur immobilier love out loud : bullshit
Sam 29 Aoû - 22:37
iv. Histoire
Sort of feels like I'm running out of time, I haven't found what I was hoping to find.
If I got a dollar for every time I tought about you, I would
start thinking about you. Un peu de logique, toute vie commence avec une naissance, ma vie commence comme la vôtre, un accouchement bien douloureux pour obtenir une petite crevette rouge pivoine qui gueule comme pas possible. Petit détail que j'ai oublié, j'étais loin d'être attendu par mes parents et on ne peut pas vraiment dire que la joie se lisait sur le visage de ma mère après l'avoir bien faire souffrir, jene pouvais pas y faire grand chose, comme j'vous ai dit, j'étais qu'une insignifiante crevette rougeâtre qui pour seul mérite avait une petite bouille mignonne, enfin si on considère un fruit de mer gigotant de 3kg mignon, bien sûr. Ma mère avait 19 ans quand elle a accouché et mon père s'était tiré vite fait quand il avait su que sa copine était en cloque, l'histoire assez banale d'une gamine sur trois. Et moi dans tout ça j'étais assez heureux, enfin tant que je ne comprenais pas ce qu'il se passait, que ma maman changeait ma couche pleine et me donnait de la bouffe ; j'étais pourtant le bébé modèle, pas trop chiant, pas trop souvent en train de chialer et je dormais la quasi-totalité de la journée. Puis je me suis développé -faut bien passer du stade de crevette à morveux- en me rendant compte que finalement mon père était revenu, la queue entre les jambes, poussé par Dieu sait quelle intuition paternel, parce qu'entre nous, à 21 ans on a pas vraiment l'envie de garder un mioche, même si c'est le nôtre.Enfin bref, j'ai grandi dans un foyer sans parents amoureux, encore moins intéressé par moi, me laissant souvent seul dans l'appart miteux que nous avions élu "home, sweet home", tout un programme. Bien vite et ayant pas vraiment le choix, je suis devenu débrouillard, je me faisais chauffer du lait -sans pour autant ne pas me brûler-, je réveillais ma mère ivre lorsqu'il était 8h et que je devais aller à l'école. Mon père ramenait souvent des putes à la "maison" mais c'était cool elles me donnaient souvent des carambar, ma mère ses conquêtes. Y'avait des engueulades bien sûr, enfin pas vraiment sur la manière dont l'un ou l'autre s'occupait de moi, mais plutôt sur qui était censé aller bosser aujourd'hui pour ramener du fric. J'ai donc jamais vraiment connu d'amour maternel -paternel non plus-, ni la sécurité économique et pour ce qui est de la bouffe c'est à se demander comment je n'ai pas fini diabétique et obèse.
La plupart des gens disent qu’on a besoin d’amour pour
vivre. En fait, on a surtout besoin d’oxygène. L'école c'était cool, j'avais des potes, assez différent de moi puisque leurs parents, à eux, leurs amenaient des kinder country pour le gouter, moi j'avais de la pizza froide, on s'enviait les uns les autres sur le coup mais j'ai toujours préféré la pizza au fromage. Je n'étais pas si mauvais que ça, en primaire quand j'y repense, c'est plutôt après que ça a commencé à foiré. J'avais déménagé juste après ma naissance -enfin mes parents avaient déménagé, je n'étais pas parti avec une valise sous mon bras de crevette- pour m'installer dans le Nevada, pas loin de la Californie (enfin juste à côté quoi) et j'ai dû aller dans un collège assez grand, bourré de gosses de riches qui bouffaient du caviar et s'habillaient avec des marques. À côté d'eux, je ne ressemblais à rien, bien évidemment, les cheveux en bataille, les fringues rapiécés et cette tête de fripouille -c'est mignon un morveux sale avec un air revanchard non ?-Bien vite, mes profs décelèrent une certaine adaptation signe que je n'étais pas totalement con, après tout on n'a pas tous la même chance au départ. J'avais des notes moyennes, enfin surtout parce que je ne bossais pas mais j'étais loin d'être mauvais, j'avais juste autre chose à faire ou plus simplement, la flemme. Vers la fin du collège je m'étais fait une bonne bande de potes, tous plus ou moins comme moi, des paumés dont les parents étaient indifférents, ou très souvent ivres, comme dans mon cas. J'ai eu la chance de tous les retrouver au lycée, période bénie de l'adolescence, mis à part pour les boutons est d'accord, mais je n'ai rien à redire sur le reste. Les hormones m'avaient permis de développer une bonne masse de muscles, enfin disons que je n'étais pas un ficello et avec les premières filles canons qui commençaient à nous tourner autour vint les bagarres, les premières cuites, les premiers joints, les premières cigarettes. J'ai toujours aimé ça, me battre, je saurais dire pourquoi. Peut-être l'adrénaline ou le fait de saigner. Bon j'avoue, je n'étais pas mauvais c'est sûrement pour ça que j'aimais bien faire le con et provoquer les gars de mon âge, juste histoire de déclencher une baston. Je rentrais souvent avec un coquard ou les lèvres fendues, mais mes parents, fidèles à eux même s'en tapaient. Je goûtais aussi aux premières joies des plaisirs charnels avec les pompoms girls les plus naïves, du moins assez naïves pour croire que j'étais amoureux d'elles, à 17 ans on ne peut pas vraiment leur en vouloir. Puis me rendant compte que c'était très plaisant de sauter avec des adolescentes en fleur j'ai rapidement enchaîné les conquêtes, en les virant sans aucune gêne le lendemain matin. Finalement j'ai terminé le lycée avec des notes pas trop dégueulasse, même plutôt fier de moi, fallait bien que je le sois puisque personne ne l'était pour moi. Maintenant certaines portes s'ouvraient devant moi, d'autres resteraient fermées, mais je le vivais bien, pour être franc je m'en tapais pas mal.
Not sure if I need a hug, two bottles of vodka or to punch
somebody in the face.. Puis finalement j'me suis barré de chez moi, enfin. Avec le peu d'argent que j'avais je suis parti en Californie, pas n'importe où. Parce que j'ai toujours rêvé de devenir quelqu'un, de faire de grandes choses. Et il n'y a pas 12 000 villes dans le monde qui permettent de réussir ce genre de rêves, mais parmi ces villes il y a Los Angeles et je comptais bien me faire un nom dans la ville des anges. Une école de commerce plus tard, pas la plus prestigieuse certes mais j'aimais bien ça et pour une fois j'avais de l'attrait pour autre chose que l'alcool et les filles. Et puis finalement, 3 ans plus tard, me voilà fraichement diplôme et bien décidé à m'installer dans le cœur de la ville, histoire de commencer à vraiment vivre ma vie. J'ai rapidement trouvé du boulot dans une société bien particulière, pas des plus légales certes puisque mon boulot consistait plus ou moins a arnaqué les gens. Bon ok, je dois carrément arnaquer les gens, mais c'est bien payé et je m'en sors bien. J'ai toujours le même rêve en tête, celui de devenir quelqu'un. Mais pour l'instant je compte bien profiter des plaisirs de la vie, l'avenir attendra !
Emploi : Tatoueuse dans son propre salon. Chanteuse dans le groupe "HPATD", mais elle vend aussi quelques peintures à l'occasion. love out loud : « Who will kiss my tears away? You only made them fall and it's crazy to hold on. What I'm holding on is gone. So now I'm closed for love »
Emploi : Producteur de films, dirige la Appleby Film Company love out loud : En carton
Dim 30 Aoû - 20:57
Bienvenido
Bon jeu parmi nous
Parker H. Bernstein
Messages : 2273 Date d'inscription : 13/10/2014 Pseudo : morrow. Célébrité : James Franco. Crédit : shiya
Emploi : Photographe, directeur artistique chez YOLO le magazine de mode tout beau tout neuf et joyau intermittent du corps enseignant de LMU. love out loud : human filth, sick.
Dim 30 Aoû - 23:36
toi je t'aime déjà
v. Validation
CONGRATULATIONS !
YOU'RE ONE OF US ! Cheers ! Tu as passé l'étape de la présentation, tu nous as annoncé la couleur avec ton personnage et le RP s'ouvre à toi. Cependant, il te reste quelques petites choses à faire, encore. ▲ RECENSER TON AVATAR est la première étape, car il y a une vieille dans le STAFF, sa mémoire lui joue des tours et elle serait capable de t'oublier, shame on her. Bref, mémé n'aura aucune excuse comme ça. ▲ Ensuite, il faut un entourage à ton personnage, à moins que tu aimes la solitude, mais hé, ça serait embêtant pour jouer. Aussi, il te faut faire une FICHE DE LIENS. Ou tu peux lui créer des amis aussi, en allant pondre un ou plusieurs SCÉNARIOS. Sans oublier que tu peux imaginer un LOGEMENT pour que ton personnage ait un toit au-dessus de la tête. ▲ Ah, et tu peux enfin TE LÂCHER DANS LE FLOOD !